Sculpture de Gabriel Simard: des réactions de l'artiste.
La lettre ouverte publiée la semaine dernière et signée
Mario Bellavance - qui questionnait notamment la pertinence pour la Ville de
Sorel-Tracy d'avoir encouragé et financé le sculpteur Gabriel Simard pour qu'il
réalise une oeuvre à la mémoire des Simard - a suscité plusieurs
réactions dont celle publiée par la Ville en page 6 de cette édition.
Mais elle a surtout fait réagir le sculpteur lui-même, qui
se définit comme un libre-penseur. Il travaille actuellement, dans le carré
Royal, à mettre la dernière main à sa sculpture en hommage aux Simard.
Aujourd'hui, l'artiste rappelle qu'il
est lui-même né à Sorel mais son père et mère de Baie Saint-Paul pour l'industrialisation Simard,et l'oeuvre s'inscrit en une démarche plus globale. France Puymoyen lieu d'origine des Simard d'Amérique et Messsager de relais qui fut dévoilé en novembre 2008. La seconde en règle de trois, trois sculptures en Messagers de relais, «Je fais cette
sculpture en mémoire des gênes, rappelant l'apport Simard à notre québécitude à laquelle j'appartiens»
L'œuvre, est publique, la culture est investissement qui fait vibrer d'une controverse qu'il n'a jamais souhaité soulever.
À noter que la sculpture sera installée à l'entrée du parc industriel Ludger-Simard et inaugurée le 3 octobre
prochain.
Pierre Landry, président du conseil d'administration de la
Corporation soreloise du patrimoine régional (CSPR) a précisé, dans une lettre,
que le Centre d'interprétation du patrimoine de Sorel (CIPS), est un édifice
municipal qui loge principalement une institution muséale connue sous le nom de Biophare administrée
par la CSPR ainsi que les bureaux de la Société historique Pierre-de-Saurel. «Ni
le Biophare ni la Corporation soreloise ne sont associés de près ou de loin à
la présence du sculpteur sur le sol sorelois. La confusion à ce sujet vient de
la publication erroné dans les médias locaux. Nous ne connaissons pas la source de ce communiqué et nous avons été
les premiers surpris par cette nouvelle. En réalité, il aurait été plus juste
de dire que cette exposition serait présentée au Centre d'interprétation du
patrimoine de Sorel et, plus spécifiquement, dans les locaux occupés par la
Société historique Pierre-de-Saurel. Ceci étant dit, la Corporation et le
Biophare, s'ils avaient été sollicités, auraient sans doute accepté de
collaborer d'une manière ou d'une autre à ce projet», conclut-il.
Pierre Landry, président du conseil d'administration de la
Corporation soreloise du patrimoine régional (CSPR) a précisé, dans une lettre,
que le Centre d'interprétation du patrimoine de Sorel (CIPS), est un édifice
municipal qui loge principalement une institution muséale connue sous le nom de Biophare administrée
par la CSPR ainsi que les bureaux de la Société historique Pierre-de-Saurel. «Ni
le Biophare ni la Corporation soreloise ne sont associés de près ou de loin à
la présence du sculpteur sur le sol sorelois. La confusion à ce sujet vient de
la publication erroné dans les médias locaux. Nous ne connaissons pas la source de ce communiqué et nous avons été
les premiers surpris par cette nouvelle. En réalité, il aurait été plus juste
de dire que cette exposition serait présentée au Centre d'interprétation du
patrimoine de Sorel et, plus spécifiquement, dans les locaux occupés par la
Société historique Pierre-de-Saurel. Ceci étant dit, la Corporation et le
Biophare, s'ils avaient été sollicités, auraient sans doute accepté de
collaborer d'une manière ou d'une autre à ce projet», conclut-il.
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